Je ne sens point de tristesse
A fuir loin de ce séjour.
Quoi ! faut-il jusqu'au retour
Que je pleure ma maîtresse ?
Ce régime-là n'est pas
Celui du Dieu des combats.
Dans notre aimable patrie
Mars n'est jamais sans l'Amour :
Au premier bruit du tambour
Toute sa troupe chérie
Court dans de nouveaux climats
Fêter de nouveaux appas.
(en réponse au poème d'un rimeur local, un dénommé Bouchard, qui avait écrit :
"Regrets et adieux des Volontaires de Pont-de-Vaux aux dames de la ville")
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